CNRD 2022-2023 : 4 exemples de sacrifices d’enseignants et d’un étudiant de notre académie dans la Résistance à l’occupant (1940-1945)

École et Résistance, nos quatre départements concernés

Vous inscrivez des élèves aux épreuves du CNRD.

Ces quatre personnalités peuvent retenir votre attention.

Francis Piétot né en 1922 dans les Ardennes, instituteur, enseignant les mathématiques, la physique, la chimie à Revin, dans les cours complémentaires qui survivent à la réforme Carcopino de 1941 supprimant les Écoles Primaires Supérieures. En juin 1944, il s’enrôle dans la Résistance au maquis des Manises pour libérer le pays.
Découvrir le destin tragique de cet enseignant ardennais sur le site du quotidien L’Ardennais.

Georges Lapierre, né en1886 dans l’Aube, est instituteur à Paris. Syndicaliste et pédagogue, il s’engage dans la Résistance dans l’Aube.
Découvrir le destin tragique de cet enseignant aubois sur le site du Maîtron du Mouvement ouvrier et du Mouvement social.

Jacques Doré né en 1904, professeur d’anglais au collège de Vitry-le-François, engagé dans la Ligue des droits de l’Homme, militant communiste, s’oppose ouvertement à l’occupant.
Découvrir le destin tragique de cet enseignant marnais sur le site du Maîtron des fusillés 1940-1944.

Louis Baruteau né en 1923, domicilié à Chaumont, est ancien élève du collège Saint-Saëns. Étudiant en droit à Dijon, réfractaire au S.T.O., il rejoint un groupe de résistants dans la Marne.
Découvrir le destin tragique de cet étudiant haut-marnais sur le site du Maîtron des fusillés 1940-1944.

Images ©Fondation de la Résistance, ©Quotidien l’Ardennais, ©Maîtron du Mouvement ouvrier, ©Maîtron des fusillés, ©Sciences et Arts Société savante de Vitry-le-François