Lecture analytique - "La Pistolétade" - Hervé Bazin
Lecture analytique de « La Pistolétade » d'Hervé BAZIN, Vipère au poing, chapitre IX, pour des élèves de 3ème - début de classe de seconde.
Séance de deux heures suivie de plusieurs prolongements possibles, à placer dans une séquence sur le roman, sur l'autobiographie ou les récits d'enfance et d'adolescence. Comparaison de l'extrait avec les deux adaptations, travail sur la trace écrite.
SUPPORT : « La Pistolétade » extrait de Vipère au poing (chapitre IX) d'Hervé BAZIN.
OBJECTIFS :
- étudier un récit d'adolescence
- analyser un conflit mère-fils
MODALITES : Travail préparatoire à la maison : chercher les connotations liées au nom « vipère ».
EN CLASSE : cours dialogué.
Ecrire les connotations trouvées par les élèves au tableau au fur et à mesure de leurs propositions.
Ecrire le nom « pistolétade » au tableau. Demander sa formation. Expliquer ce qu'est un mot dérivé. Faire trouver le mot « fusillade » en indiquant qu'il s'agit d'un nom appartenant au même champ lexical que le radical « pistolet ». Faire deviner aux élèves le thème de ce texte en leur indiquant que le nom « pistolétade » pourrait être son titre ? guerre, conflit...
Lecture expressive faite par le professeur : découverte par les élèves du texte.
Essayer de repérer les réactions des élèves pendant la lecture.
Demander ce qui les choque puis ce qui leur plaît. Noter les réponses puis déterminer les axes de lecture.
Ce qui les choque : insultes, mots grossiers, association « mère et vipère », violence des sentiments, « il n'aime pas sa mère », « pourquoi tant de haine ».
Ce qui leur plaît : la révolte, la victoire, le défi, « il ne baisse pas les yeux », « il lui tient tête ».
Faire au tableau deux colonnes : le défi / la haine ou la violence des sentiments (à choisir en fonction des propositions des élèves).
Remarque : toujours demander aux élèves à chaque étape de l'explication dans quelle colonne placer les réponses au questionnement.
DEBUT DE L'ANALYSE DETAILLEE
(En italique, les réponses possibles des élèves)
Faire le rapprochement avec les hypothèses émises sur les thèmes du texte : qui est en guerre ? Quels sont les deux pronoms personnels les plus représentés ? Qui désignent-ils ?
Montrer que le jeu des pronoms révèle l'opposition des deux personnages. L'un « je », en position de sujet, domine l'autre « te » en position d'objet. Colonne « défi »
Compréhension littérale : qu'est-ce que la pistolétade ? Fixer l'autre sans baisser les yeux, celui qui perd est celui qui détourne le regard en premier. Colonne « défi»
A quel moment la pistolétade est-elle possible ? Quelles sont les règles de comportement imposées par la mère au cours des repas ? Silence, mains sur la table, dos droit.
Pourquoi Jean les respecte-t-il ? Ne pas être pris en défaut, ne pas offrirà sa mère une occasion de le réprimander.
De quelle manière les respecte-t-il ? ou Comment insiste-t-il sur sa tenue irréprochable ? Adverbe : « terriblement » (l.11)
Quel autre adverbe emploie-t-il plus loin pour insister de nouveau sur sa tenue ? « Infiniment » (l.24) (Demander éventuellement comment on appelle ces termes. Des « modalisateurs ») Colonne « défi »
Quelles sont donc les étapes de la « pistolétade » ? Se tenir droit et fixer sa mère.
Comment montre-t-il qu'il ne quitte pas sa mère des yeux ? Répétition du verbe « fixer ».
Que remarquez-vous dans l'évolution de ces répétitions ? Une progression : « donc » (l.13),éperdument (l.13) (demander la signification de cet adverbe : d'une manière très violente, très passionnée), négation restrictive « ne... que» (l.11-12) qui exclut tout autre action. Colonne « défi ». « éperdument » Colonne « haine »
Ne fait-il vraiment que fixer sa mère ? Que fait-il d'autre ? Il lui parle en pensée.
Quelle phrase le prouve ? « Et je te parle en moi. » (l.14)
Quel signe de ponctuation le prouve également ? Les guillemets.
Pourquoi s'adresse-t-il à elle ? Portrait physique péjoratif, déclaration de « non-amour ». Colonne « haine »
Par quels termes l'apostrophe-t-il au début du texte ? « Folcoche » (l.1), « ma tendre mère » (l.9). Que pensez-vous de cette apostrophe ? Il pense le contraire . Comment appelle-t-on cette figure de style ? Une antiphrase. Repérez une autre antiphrase qui correspond à une autre apostrophe à la fin du défi ? «Ah ! Folcoche de mon cœur !» (l.50) Quel effet produit-elle ? Ironie mordante. Colonne « haine ».
Dans la phrase « Je te parle et tu ne m'entends pas » (l.14), par quelle autre conjonction de coordination pourrait-on remplacer la conjonction « et » ? Mais.
Quel rapport logique apparaît ? Qu'est-ce que cela révèle à nouveau des relations mère-fils ? Opposition, incompréhension (cf. étymologie du verbe « entendre ») Colonne « haine ».
Quel synonyme du verbe « parler » emploie-t-il ? Causer. A quel niveau de langue ce mot appartient-il ? Niveau de langue familier.
Où retrouve-t-on ce même niveau de langue ? Critique du physique, ...
Pourquoi le narrateur l'emploie-t-il ? A travers ce niveau de langue, il défie sa mère car on imagine que ce vocabulaire n'est pas autorisé par sa famille. De plus, la violence des mots correspond à la violence des sentiments. Colonnes « défi » et « haine ».
Quel type de phrases exprime également la violence des sentiments ? Les nombreusesphrases exclamatives. Colonne « Haine »
A quoi compare-t-il sa mère ? Relevez dans la suite du texte les éléments qui poursuivent cette comparaison. Pourquoi le narrateur fait-il cette comparaison ? (Faire le rapprochement avec les connotations des élèves). Couleur des yeux, regard perçant, méchanceté+ allusion à un épisode de son enfance.
Pourquoi évoque-t-il cet épisode ? Il a étranglé une vipère et désormais la vipère qu'il veutétrangler du regard en la fixant, c'est sa mère.
Quelle phrase le prouve ? « mon regard tendu vers ta vipère de regard à toi, tendu comme une main et serrant, serrant tout doucement, serrant jusqu'à ce qu'elle en crève. » (l. 44-46) Quel effet produit la répétition du participe présent « serrant » ? Imitation du geste, lenteur du geste et détermination de l'auteur de ce geste. Colonnes « haine » et « défi »
Pourquoi veut-il « étrangler » sa mère ? Il ne l'aime pas. Relevez les phrases qui expriment ce sentiment. « Et si tu savais comme je ne t'aime pas ! » (l. 27-28), « Moi, je ne t'aime pas. » (l. 30)
Quel mot est mis en relief ? Que cela révèle-t-il du caractère du narrateur ? Il fait preuve d'une grande force de caractère. Quels procédés grammaticaux permettent de renforcer cette idée ? La phrase exclamative, aborder la notion d'emphase qui sera vue dans la prochaine séance de langue. Quel temps employé par Jean révèle aussi cette force de caractère, cette domination ? Le futur simple : « tu ne mordras pas » (l.18), « Moi, je ne baisserai pas les yeux. » Colonnes « défi » et « haine »
Comment comprenez-vous que le narrateur dise que « haïr » a un sens moins fort que « ne pas aimer » ? La forme négative permet d'exprimer la négation totale de tout amour. En outre, derrière la haine peut-être y a-t-il une forme d'amour. Colonne « haine »
Qu'est-ce qui encourage Jean à tenir ? Satisfaction de la provocation, recherche de l'admiration de Frédie et de la crainte de Marcel.
Comment réagit-il quand il sait qu'il a battu son record ? Il continue.
Quel effet cette première victoire a-t-elle sur Jean ? Elle décuple sa haine. Quelle figure de style le montre ? L'anaphore « je te crache » (l.51) montre la violence de ce sentiment et son caractère exacerbé. Colonne « haine ». Remarque : renversement de situation ?
Pourquoi a-t-on des points de suspension à la fin de cette anaphore ? Le « discours » de Jean estinterrompu par les paroles de Folcoche qui signifient qu'il a gagné.
Exemple de tableau complété dans une classe :
Défi |
Haine ou violence des sentiments |
Le jeu des pronoms de 1ère et 2ème pers. révèle qui sont les « adversaires » et qui domine l'autre. La pistolétade possible si tenue irréprochable (adverbes modalisateurs : « terriblement » l.11, « infiniment » l.24) Répétition du verbe « fixer », progression du sens avec emploi de l'adverbe « éperdument » (l.13) puis de la négation restrictive « ne ... que » (l.13-14) Emploi du niveau de langue familier Comparaison avec la mort d'une vipère Emphase, répétition du participe présent « serrant » (l.45-46) Futur simple : « Moi, je ne baisserai pas les yeux. » (l.32) Anaphore : « Par les yeux, je te crache... » (l.50-51) |
Emploi de l'adverbe « éperdument » (l.13) (d'une manière très violente, très passionnée) Discours direct pour déclarer son « non-amour » et dresser un portrait péjoratif Antiphrases : « ma tendre mère » (l.9), « Folcoche de mon cœur » (l.50) servent une ironie mordante. Opposition et incompréhension : « Je te parle et tu ne m'entends pas » (l.14) Emploi du niveau de langue familier : la violence des mots : « moche » (l.26), « crève » (l.46) correspond à la violence des sentiments. Volonté d'étrangler du regard sa mère comme il a étranglé la vipère Phrases exclamatives : «Et si tu savais comme je ne t'aime pas ! » (l.27-28) Emphase et forme négative : « Moi, je ne t'aime pas. » (l.30) Anaphore : « Je te crache... » (l.50-51) |
CONCLUSION
- Expliquez le titre du livre.
- En quoi ce récit peut-il correspondre à une des caractéristiques de l'adolescence ?
Première conclusion proposée
A partir du tableau, faire rédiger une conclusion aux élèves sur leur cahier. En lire plusieurs et faire une synthèse ensemble au tableau.
Par exemple : Dans ce monologue intérieur, on peut ressentir avec quelle force Jean déteste sa mère. Ce défi de la « pistolétade » est l'occasion pour Jean d'exprimer avec violence toute sa haine.
Dans un second temps, on peut les faire réfléchir au sens du titre et l'écho qu'on en trouve dans le texte.
Par exemple : Dans cet extrait, se trouve la comparaison à la vipère adressée par Jean à sa mère, toujours par la pensée : « ton vert-de-gris de poison de regard », « mon regard tendu vers ta vipère de regard à toi, tendu comme une main et serrant, serrant tout doucement, serrant jusqu'à ce qu'elle en crève. »
A la lecture de ce passage, le titre du livre prend en effet tout son sens, non seulement par l'anecdote du narrateur enfant saisissant une vipère sans se faire mordre (incipit du roman), mais aussi par la comparaison de sa mère avec une vipère : le narrateur retourne contre sa mère les armes par lesquelles elle le dominait. Ainsi, la vipère qu'il brandit c'est sa mère et le poing qui empoigne l'animal ce sont ses yeux, son regard qui ont réussi à vaincre Folcoche lors de cette pistolétade : « C'est fini ! Tu es vaincue.»
Seconde conclusion proposée
Expliquer le titre du livre.
Relire l'incipit et les dernières phrases du roman pour guider les élèves.
Vipère au poing s'ouvre sur Jean qui saisit une vipère et l'étrangle d'une main. Le lecteur peut alors, dès l'incipit, formuler une explication du titre de l'œuvre. Pourtant, d'autres épisodes du récit renverront à ce titre. Ainsi, lors de la pistolétade, Jean étrangle-t-il à nouveau une vipère mais cette vipère, c'est sa mère et sa main, ce sont ses yeux : « mon regard tendu vers ta vipère de regard à toi ». Sa victoire, lors de ce défi, il peut alors la brandir comme, enfant, il a tendu son « trophée ». Ce geste métaphorique et symbolique, il se vantera de le reproduire toute sa vie comme le souligneront les derniers mots du roman : «Cette vipère, ta vipère, je la brandis, je la secoue, je m'avance dans la vie avec ce trophée, effarouchant mon public, faisant le vide autour de moi. Merci, ma mère ! Je suis celui qui marche, une vipère au poing.»
Pour une classe de seconde
Éventuellement, en début d'année, demander alors aux élèves de rédiger au brouillon la trace écrite de la lecture à partir du tableau. Suivre la même démarche de lecture
Exemple proposé
Dans ce texte, extrait du roman autobiographique Vipère au poing d'Hervé Bazin, on assiste à la « pistolétade », « guerre » silencieuse, à laquelle se livrent Jean, le narrateur, et sa mère, surnommée Folcoche. Cette guerre est le fruit des relations conflictuelles qui existent entre cette mère odieuse et tyrannique et ses fils. La pistolétade est donc une façon pour Jean de se révolter contre elle puisqu'il la provoque à travers le regard et lui déclare en pensée qu'il ne l'aime pas.
Un défi
La « guerre» entre le narrateur et sa mère est exprimée par la domination et le jeu des pronoms personnels de 1ère et 2ème personnes du singulier qui révèlent qui se défie et qui domine. Ce duel, nommé la « pistolétade » par le narrateur, consiste à fixer l'autre le plus longtemps possible. Cela n'est réalisable que si Jean a une attitude irréprochable au cours du repas comme le montre l'association de l'adjectif « correct » et des adverbes modalisateurs : « terriblement » (l.11) et « infiniment » (l.24). La répétition du verbe « fixer » crée un effet de gradation avec l'emploi de l'adverbe « éperdument » puis de la négation restrictive « ne...que ». Cela exclut tout autre action. Le narrateur provoque donc sa mère en la fixant mais aussi, en pensée, par l'emploi du niveau de langue familier. La finalité de ce défi est d' « étrangler » la vipère que représente sa mère à travers le regard : « mon regard tendu vers ta vipère de regard à toi ... crève » (l.44-46). Ici, la répétition du participe présent « serrant » cherche à montrer la détermination de l'auteur de ce geste. Quant à l'anaphore « Je te crache » (l.51), renverse en quelque sorte la situation : ne deviendrait-il pas lui-même la vipère ? Jean remportera la victoire grâce à sa grande force de caractère exprimée par le futur simple et l'emphase : « Moi, je ne baisserai pas les yeux » (l.32).
Une déclaration de haine
C'est à travers l'emploi du discours direct que le narrateur dresse de sa mère un portrait péjoratif : « T'es moche ! Tu as les cheveux secs, le menton mal foutu, les oreilles trop grandes. » (l.26-27) La violence du niveau de langage familier rencontré ici mais aussi tout au long du texte avec le verbe « crève » (l.46) par exemple ou la violence des mots comme l'anaphore « Je te crache » (l.51) répond à la violence du sentiment éprouvé par le narrateur qui déclare son « non-amour » à sa mère dans la phrase exclamative : « Et si tu savais comme je ne t'aime pas ! » (l. 27-28) et la phrase négative et emphatique : « Moi, je ne t'aime pas ». La forme négative et emphatique permet à Jean d'insister sur l'absence totale d'un quelconque sentiment pour sa mère. Par ailleurs, ce sentiment est exprimé dès le début du défi avec l'antiphrase : « ma tendre mère » (l.9) mais aussi à la fin de la pistolétade avec une autre antiphrase : « Folcoche de mon cœur ». Ces apostrophes révèlent l'ironie mordante avec laquelle Jean s'adresse à sa mère. D'ailleurs tout ce qu'il lui dit n'est que morsure...
Prolongements possibles
- Jeu théâtral de la scène avec un élève « voix-off ».
- Lexique de la haine.
- Changement de point de vue : récit de la mère.
PROLONGEMENT PROPOSE :
Comparaison de deux adaptations cinématographiques de la « pistolétade »
Tableaux au format PDF afin de comparer les deux adaptations filmiques du roman
SUPPORTS : Film de 1971 de Pierre Cardinal et film de 2004 de Philippe de Broca
DUREE : deux heures
NIVEAU : 3ème
MODALITES :
Lecture d'un A.B.C. de l'image filmique (angles de prise de vue : plan frontal, plongée, contre-plongée / mouvements de la caméra / plans : très gros plans, gros plans, plans moyens, plans américains, plans d'ensemble / sons : dialogues, voix-off, bruitages, musique)
L'élève doit réfléchir à ses propres choix d'adaptation à partir des critères étudiés ci-dessus et à partir de quelques autres comme celui de la lumière (car important dans les deux adaptations) ou le décor. Il note ses réponses dans un tableau.
Lecture de quelques propositions. Peu de différences sont à relever.
Visionnage des deux adaptations et recueil des premières impressions dans un paragraphe de quelques lignes. L'accroche de la première phrase est donnée : « J'ai préféré l'adaptation de ... parce que ... »
« Sondage » (les avis peuvent être très partagés) et lecture de quelques paragraphes. Les mêmes remarques apparaissent :
- Si choix de l'adaptation de 1971 : les élèves ont apprécié la fidélité au texte du roman et l'intensité de la scène.
- Si choix de l'adaptation de 2004 : les élèves ont trouvé la scène plus conviviale que dans l'autre version. Ils ont également aimé le flash-back qui montre l'épisode de la vipère. De même, ils ont trouvé que le regard vert de Folcoche (Catherine Frot) ressemblait vraiment à celui d'une vipère. Ils ont pu remarquer que le maquillage accentuait cette ressemblance.
Distribution du tableau comparatif avec analyse des mêmes critères que ceux proposés dans le tableau « Mes». Plusieurs visionnages sont faits pour que les élèves puissent tout compléter.
Mise en commun des réponses.
Rédaction d'un bilan sous la dictée des élèves.
Trace écrite possible.
Les procédés cinématographiques choisis par Pierre Cardinal créent une atmosphère glaciale. En effet, le décor minimaliste, la voix-off, très fidèle au texte d'Hervé Bazin, la lumière crue ainsi que les gros plans et les très gros plans focalisent l'attention du spectateur sur les yeux de Jean et de Folcoche. Tout cela concourt à montrer l'intensité dramatique de la « pistolétade ».
Quant à Philippe de Broca, il donne à voir une atmosphère plus conviviale car les personnages discutent : le père évoque la préparation d'une réception à la Belle Angerie. De plus, Jean et Folcoche mangent et ne sont pas inactifs. La lumière tamisée renforce cette ambiance de convivialité. Enfin, le flash-back, couleur sépia, permet de bien comprendre le rapport entre Folcoche et la vipère. Ce rapprochement est également évoqué par un fondu enchaîné entre le visage de Catherine Frot et les yeux de la vipère.
Pour terminer, une définition de l'adaptation cinématographique est proposée qui permet de faire comprendre qu'un réalisateur doit faire des choix et que ses choix produisent des effets (comme l'écrivain fait des choix qui produisent des effets).
Séances proposées par S. Godey et A. Perriaux
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Créé ledimanche 28 décembre 2014
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RédacteurMartignoni Hélène
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Dernière mise à jourdimanche 18 janvier 2015
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